vendredi 21 avril 2017

Compte rendu de la journée du 9 avril 2017

Dès le matin au départ de Niort, les voitures se libéraient de leur capote permettant à chacun de profiter du beau soleil en ce début de printemps. (température environ 10°, tout de même !)


À 10 heures, visite de la Corderie Royale.

La nouvelle configuration du musée nous a permis tout d’abord d’assister à la fabrication d’une corde. Bernard a dû donner la main, mais il a gagné de remporter son trophée en souvenir. 
Nous découvrons ensuite l’art du matelotage.



 La visite s’est poursuivie par la projection d’un documentaire très intéressant sur l’histoire de la corderie royale, de sa création à nos jours. Ce bâtiment aux dimensions hors normes, construit sur un terrain marécageux, fut le fleuron de l’arsenal au 17ième siècle. Il a bien failli disparaître après son incendie en 1944. Il est aujourd’hui remis parfaitement en valeur.

                          


Pour rejoindre le restaurant, nous avons effectué un parcours le long de la Charente, fait le tour de l’Hermione et de la forme de radoub, longé l’aire de jeu des gréements puis le labyrinthe.



Le repas à « Cap Nell » était de bonne facture, avec des finesses dans le menu que beaucoup ont apprécié.



L’après-midi fut consacrée dans un premier temps à la visite du musée national de la marine. 
Toute l’histoire de l’arsenal de Rochefort est retracée grâce aux tableaux et aux superbes maquettes de navires de guerre de la Marine nationale. Chacun équipé d’un audioguide a fait la visite à son rythme.


En deuxième partie de soirée, nous avons repris nos cabriolets en direction de l’Ile Madame. 
Sous le soleil et une température de 27°, c’était bien agréable. Un pot en terrasse, face à la mer, à Port des Barques, a clos cette journée avant de prendre le chemin du retour.



Une journée très sympa avec un temps exceptionnel pour cette saison. 

À bientôt la suite !

samedi 1 avril 2017

Compte rendu de la journée du 19 mars 2017


Comme chaque année, notre première sortie, fut consacrée à notre « rallye découverte ».  

Cetteannée le parcours se déroulait le long de la vallée du Thouet.     
 


À 9h du matin, nous étions 11 voitures, à partir de Châtillon-sur-Thouet. Le temps était un peu couvert, mais 2 équipages très réchauffés, étaient déjà décapotés.
Nous sommes partis direction Gourgé, Aubigny, Pressigny, Louin, Airvault (où avait lieu la pause-café), Veluché, Assais, Le Chillou, Lamairé, pour finir à l’arrivée au Château de la Roche Faton à Lhoumois. Nous devions parcourir 78,5 kms. Chacun est arrivé dans une fourchette de temps  raisonnable. Bien sûr certains ont oublié de tourner une page du road book, d’autres au contraire ont tourné 2 pages à la fois,… mais tout cela est anecdotique.
L’ambiance était excellente comme toujours.




Déjeuner au château de Marconnay à Sanxay (86), où nous avons été très bien acceuillis, avec un repas copieux et délicieux.



À la fin du repas, Éric a remis le premier prix à l’équipage « Marie Line et Gérard » qui ont obtenu la note de 10/10 (bravo au pilote féminin et à son copilote)



Après le repas le fils de la propriétaire actuelle de Marconnay nous fait visiter son château : 

Le château de Marconnay, allie style Gothique et Renaissance, avec enceinte de douves profondes. C’est un beau logis du XVe siècle auquel fut rajoutée au XVIe une aile d'inspiration Renaissance. Chargé d'histoire, il a appartenu notamment à Charlotte de Vernoux, dame de compagnie de Madame de Montespan. 

Enfermée dans un quadrilatère bordé de fossés, protégée de tours, cette demeure est un exemple parfait de la petite forteresse féodale où le gothique s'allie à l'art de la Renaissance. Il possède une poterne et les vestiges d'un pont levis





La propriétaire actuelle, Catherine Forestier est Maire de sa commune, et aussi une châtelaine atypique qui a redonné vie à Marconnay depuis 1985. Son fils raconte : « Il y avait tout à faire. Les douves, la poterne, les escaliers à vis, tout était là mais tout était en mauvais état. C'était envahi par les herbes et les gravats. » Trente ans plus tard, Marconnay a retrouvé son âme et offre à ses visiteurs un bel exemple d'architecture fortifiée à la charnière du gothique et de la Renaissance : « On n'avait pas d'argent mais on avait la volonté. Au début, quand on se levait, en hiver, l'eau des chiens était gelée dans les gamelles. On a refait les toitures et toutes les charpentes… » Le corps de logis a repris vie : « C'était une aventure. Maintenant, c'est parfait. » Une collection de vieux outils et d’objets divers agrémente la visite des pièces                                                                                                         du château.

 Après une journée riche en émotions, nous nous sommes quittés vers 17 heures.